D’après un récent rapport de l’Organisation des nations unies (ONU), environ 2 000 ont déjà été enterrés par les communautés et la Croix-Rouge en même temps que environ 1 000 autres sont encore éparpillés dans différentes morgues de la ville de Goma. L’ONU indique également que de nombreux corps encore en décomposition reste encore dans certaines zones notamment, à l’aéroport et à la prison de Goma, un véritable défi sanitaire. L’on signale également la rupture des stocks de sacs mortuaires et les organisations de la société civile craignent déjà des épidémies et plaident en faveur du rétablissement d’un corridor humanitaire.

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La Rédaction

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