175 : le nombre d’hectares de champs semenciers réhabilités entre 2022 et 2025
105 : le nombre d’hectares de champs semenciers de la Sodecao entretenus à Nkoemvone, 53 hectares à Mengang et 17 hectares à Abong-Mbang.
300 000 : le nombre cabosses semences pollinisées produites en 2024 contre 100 000 en 2022. Cette augmentation a conduit à un accroissement de la disponibilité des plants de cacaoyers certifiés, soit 9 millions dont 4,5 millions dans le réseau du Projet d’appui au développement du cacao (PAD-Cacao), en plus des 14 314 000 sachets distribués par les encadreurs du ministère de l’Agriculture et du développement rural (Minader).
43 050 000 : le besoin en nombre de plants en 2025.
175 : le nombre d’hectares de champs semenciers que la Sodecao (Société de développement du cacao) va entretenir en 2025.
10 : le nombre de parc à bois que la Sodecao compte créer et la construction de six pépinières modernes irriguées d’une capacité de 100 000 plants au sein des coopératives.

Gabriel Mbaïrobe : « Il nous faut au moins 40 millions de plants chaque année »
Le ministre de l’Agriculture et du développement rural (Minader) opte pour l’augmentation des rendements jusqu’à 30% via une bonne politique de fertilisation microbienne ».
2025 est une année charnière entre les préparatifs et la mise en œuvre de la règlementation de l’Union européenne qui entre en vigueur à partie de 2026. Il est question pour nous continuer ce que nous avons déjà commencé. Nous allons densifier les plantations et rajeunir celles qui sont vieilles de plus de 30 ans. Cette agroforesterie nous permettra non seulement de mettre en place les espèces qui puissent apporter des revenus financiers aux producteurs, mais d’autres espèces dont la vocation sera de protéger les vergers.
La deuxième politique porte sur le greffage parce que pour atteindre nos objectifs, il nous faut au moins 40 millions de plants chaque année. La troisième chose à faire c’est la fertilisation microbienne. Nous nous sommes rendus compte que nous pouvons augmenter le rendement jusqu’à 30% en adoptant une bonne politique de fertilisation. Enfin, il faut maintenant la qualité du cacao camerounais par un bon traitement post-récolte.
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