Le gouvernement prévoit également que les recettes cumulées seront dans l’ordre de 632 581 milliards FCFA en 2041 (fin du contrat), soit un montant de 194 983 milliards FCFA comme total de loyer perçu par le partenaire privé et de 437 597 milliards FCFA comme recettes fiscales nettes perçues par l’Etat du Cameroun.
Une fois devant le poste de péage routier automatique, l’automobiliste arrive et traverse un détecteur de hauteur qui détermine la nature du véhicule. Il traverse ensuite une boucle magnétique en direction de la cabine de péage sous l’objectif d’une caméra qui contrôle tout à ce niveau. Elle prend même des photos qui pourront servir pour tracer le véhicule en cas de violation ou toute autre infraction.
La suite se passe avec le péager. Selon l’information contenue dans le journal Cameroon Tribune du vendredi 11 août 2023, l’automobiliste aura la possibilité de payer de trois manières : en espèces, par carte prépayée (qui s’acquiert aux postes de vente présents dans tous les péages) avec un nombre de passages défini, mais aussi grâce à un AR code à usage unique à l’usager avec son téléphone portable.
Selon le journal, tous ces moyens sont validés dans un premier temps par le péager qui génère une attestation de passage qu’il remet au client, le tout en moins de 5 minutes. La barrière de sécurité se lève et le véhicule peut passer.
Recettes
Dans un extrait sélectionné par le journal, le ministère des Travaux publics indique qu’en automatisant les postes de péage tout en maintenant le tarif actuel à 500 FCFA, le niveau des recettes augmente de manière assez significatives. Elles partiraient de 4 milliards FCFA entre octobre et décembre 2023, pour se situer à 53,59 milliards FCFA en 2040.
Le gouvernement prévoit également que les recettes cumulées seront dans l’ordre de 632 581 milliards FCFA en 2041 (fin du contrat), soit un montant de 194 983 milliards FCFA comme total de loyer perçu par le partenaire privé et de 437 597 milliards FCFA comme recettes fiscales nettes perçues par l’Etat du Cameroun.
Je suis Jean Daniel Obama, journaliste issu de la 16ème promotion de l’Institut Siantou Supérieur à Yaoundé. Passionné des questions agropastorales, j’ai décidé de me lancer et me spécialiser dans ce domaine où j’espère apporter l’information utile non seulement aux décideurs mais également aux entrepreneurs.
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